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Pourquoi j'ai créé ce site ?

Ce site ne fait pas parti d'aucune association. Ce site a ete cree pour les Orphelins de Duplessis uniquement et ne doit pas servir a d'autres fins. Les propos qui sont tenus sur ce site sont veridiques et vous demontre notre dégout envers l'eglise et la politicaillerie de basse cour du Canada.

Ce site a ete cree benevolement et ce pour denoncer des actes reprehensibles commis sur des enfants durant les annees 50 et 60 au Quebec, Canada par l'eglise catholique, le gouvernement et la medecine. Ce site n'est pas un documentaire mais une denonciation des actes commis sur des pauvres enfants Orhhelins victimes d'un systeme corrompu. Vous comprendrez que si certains passages vous choquent ou si vous trouvez que certains de mes propos sont disgracieux ou deplaces, c'est qu'en concevant ce site j'avais la rage au coeur et que j'etais degoutte devant de telles Atrocites. Je ne suis certainement pas ici pour plaire aux politiciens ou a l'eglise et encore moins a Bruno Roy.

Ce site est independant et repose sur des temoignages vécus avec des faits veridiques et des documents legaux qui les appuies.

Ce site est dedie aux Orphelins de Duplessis et je leur offre une fenetre ouverte au monde entier via Internet afin qu'ils puissent faire connaitre leur calvaire et ainsi empêcher que cela ne se reproduise et ne tombe jamais dans l'oublie. L'holocauste des Juifs en Allemagne Nazi etait horrible selon vous et bien ce qui se trouve sur ce site l'est tout autant mais les horreurs n'ont pas ete commises par des NAZIS mais par l'église Catholique, par des Politiciens Verreux et par la Medecine et ce au Quebec, et le Canada qui se vante d'etre un exemple de vertue c'est tout à fait dégoutant.

Sylvain, webmaster

Comment la psychiatrie a utilise les orphelins de Duplessis comme cobayes !


Clarina Duguay (en haut, a droite) et son epoux, Rod Vienneau, cherchent a connaitre toute la verite sur le passe d'Orpheline Duplessis de Clarina (Clarina dans le cercle, a gauche), y compris les drogues administrees a l'hopital St-Julien.

Pour beaucoup de gens, se reposer au bord de l'eau est une experience de detente. Pour Clarina Duguay, cela inspire des souvenirs terrifiants de son enfance — des souvenirs si douloureux, que meme plus de 50 ans plus tard, elle peut a peine trouver des mots pour les exprimer.

La douce et timide Mme Duguay, agee de 65 ans, est l'une des infames Orphelins quebecois de Duplessis, un groupe de plus de 5 000 enfants que les parents ont remis aux orphelinats catholiques pendant les annees 40, 50 et 60, et a qui on avait promis une « bonne education pour leurs enfants ».

Au lieu de cela, les psychiatres les ont faussement declares mentalement malades ou severement retardes et les ont entreposes dans des hopitaux psychiatriques, permettant au gouvernement du Quebec, dirige par l'ancien Premier ministre Maurice Duplessis, de recevoir des primes du gouvernement federal pour leurs soins.

Jusqu'ici, les recherches sur les Orphelins de Duplessis se sont concentrees principalement sur les actions des representants de l'eglise Catholique qui ont admi-nistre les orphelinats et les hopitaux psychiatriques.

Mais, le 26 septembre 2001, dans une action apparente pour bloquer toute investigation supplementaire sur les crimes ou les inconduites du passe et sur ceux qui en etaient responsables, le gouvernement du Quebec a fait une offre qui se voulait a prendre ou a laisser pour empecher les Orphelins d'intenter des actions judiciaires contre le gouvernement du Quebec ou les representants de l'eglise Catholique, en echange d'un pauvre reglement de 10 000 $ par personne. Si un Orphelin refuse de signer l'accord, il renonçe meme a son droit d'obtenir cette compensation.

En consequence, disent les Orphelins, un groupe important d'individus n'ayant jamais ete tenu responsable du role fondamental qu'il a joue dans leur traitement abusif, peut maintenant s'en tirer indemne lui aussi : les psychiatres qui ont signe des fausses ordonnances les etiquetant « mentalement malades » et les envoyant dans un enfer atroce.

Cobayes Humains ?

La necessite de faire une enquete plus approfondie sur le cas des Orphelins est evidente, car une enquete supportee par le Fonds pour le Journalisme d'Investigation de Washington, D.C., a revele quelque chose de bien plus sinistre de la part des psychiatres que de signer des ordonnances pour faire de ces enfants normaux et en sante, des inadaptes mentaux.

Apparemment, ils etaient utilises dans des experiences sur les drogues, experiences semblables a celles conduites sur des enfants en Allemagne nazie.

Les dossiers medicaux ainsi que les propres souvenirs des Orphelins suggerent que les enfants auraient ete exploites en tant que cobayes humains pour une nouvelle drogue : la chlorpromazine.

Le gouvernement du Quebec, sous le regne de l'ancien Premier Ministre Maurice Duplessis, recevait des sommes d'argent provenant de fonds federaux pour les milliers d'orphelins ; plusieurs d'entre eux etaient faussement declares malades mentaux par les psychiatres tel que Joseph Pierre Lamontagne (ci-joint) qui signa les papiers envoyant Clarina Duguay dans un asile d'alienes.

La chlorpromazine, connue aujourd'hui sous ses marques de fabrique de Largactil au Canada et de Thorazine aux etats-Unis, a ete synthetisee en France avant la Deuxieme Guerre mondiale pour servir d'anesthesique. Depuis ce temps, on lui a associe des qualificatifs tels que « matraque chimique » ou « lobotomie chimique » en raison des consequences mentales et physiques, y compris une « complication » connue sous le nom de dyskinesie tardive, desordre du systeme nerveux central qui inclut des mouvements faciaux et corporels, involontaires et grotesques.

Pour ce qui est des enfants, la drogue les plongeait dans un cauchemar duquel ils pouvaient ne jamais se reveiller. Les objectifs vises par l'utilisation de cette drogue, ainsi que l'ampleur et les consequences des experimentations effectuees, incluant des deces, continuent a etre investigues par Freedom.

Les dossiers medicaux ainsi que les propres souvenirs des Orphelins suggerent que les enfants auraient ete exploites en tant que cobayes humains pour une nouvelle drogue : la chlorpromazine.

Certains des Orphelins internes a l'hopital St-Jean-de-Dieu (nomme maintenant l'Hopital Louis-H. Lafontaine) dont le docteur Lazurre est toujours en poste, se rappelle avoir été traités par Ewen Cameron, le psychiatre qui a fait des experiences épouvantables et inhumaines sur des sujets humains a l'Institut Allan Memorial de l'Universite McGill. Ces experiences faisaient partie des programmes notoires de « controle mental » de la CIA americaine (Central Intelligence Agency) qui commencerent a la fin des annees 1940 et qui se poursuivirent jusqu'au debut et au milieu des annees 1960.

M. Bruno Roy, president du Comite des Orphelins de Duplessis, a examine les dossiers de centaines d'Orphelins, et a dit que, en effet, le nom de Cameron apparaissait dans les dossiers des enfants.

Cameron etait connu pour utiliser la chlorpromazine dans ses experiences, lesquelles combinaient drogues, chocs electriques, lobotomies et autres attaques sauvages sur des patients.

Son associe Heinz Lehmann, qui donna des cours a McGill aux etudiants preparant une licence et a ceux qui en avaient deja une et qui devint directeur clinique au Allan Memorial en 1958, est considere comme le psychiatre qui a decouvert l'utilisation de la chlorpromazine sur les patients psychiatriques en 1953 (voir l'article precedent).

Pourtant aujourd'hui, les preuves indiquent que des 1947 on administrait cette drogue puissante aux effets debilitants, aux Orphelins de Duplessis, qu'on faisait passer pour retardes et mentalement malades dans les hopitaux psychiatriques.

En tant qu'enfants sans defense, ignorants de leurs droits et sans droit de parole, la verite horrifiante au sujet de leurs epreuves a ete cachee au public.

Des vies gaspillees

Deux ans apres etre arrivee a son orphelinat en 1946, Clarina Duguay a ete transferee a l'Hopital St-Julien, un asile d'alienes situe a plus de 1 000 kilometres de chez elle.

a St-Julien, Mme Duguay experimenta des traitements epouvantables.

« Ils plongeaient nos tetes dans l'eau glacee si nous faisions quelque chose de mal, » a-t-elle dit, ajoutant que depuis ce temps l'eau la terrifie. Elle a decrit avoir ete attachee a un lit avec un collier, et devoir frotter interminablement des planchers.

Les soeurs ont dit a Mme Duguay que sa mere etait devenue folle et qu'elle etait morte en tant que patiente dans un autre hopital psychiatrique. En fait, sa mere ne mourut de la tuberculose que deux ans apres cette declaration des soeurs.

Deux semaines apres etre arrivee a St-Julien, Mme Duguay se rappelle de façon tres precise qu'on lui avait fait prendre un medicament qui, selon les soeurs, la ferait dormir. Le medicament toutefois fit beaucoup plus que cela.

« Il m'a transformee en une zombie, dit-elle. Je n'avais pas d'energie. Je me sentais toujours somnolente, j'avais de la difficulte a me lever. On me donnait cette drogue chaque soir. J'ai de la difficulte a me rappeler et je pense que c'est a cause de la drogue. »

Mme Duguay et les autres orphelins disent que meme si la province ne leur a pas fourni les dossiers correspondant aux premieres annees passees a leurs institutions, la drogue qui leur a ete administree a toujours ete la meme. Cette drogue a ete identifiee dans des dossiers plus recents comme etant de la chlorpromazine.

En 1946, François Lantagne etait un garçon de 9 ans, effraye, lorsqu'il fut envoye a l'hopital psychiatrique St-Michel Archange (maintenant nomme Robert Giffard). etant un enfant naturel, sa mere n'avait pas assez d'argent pour l'elever.

M. Lantagne fut regulierement place dans une camisole de force et soumis aux douches glacees. Comme Mme Duguay, il a reçu la chlorpromazine chaque soir, au coucher.

Aujourd'hui, cela fait 35 ans que M.Lantagne est sur l'assistance sociale.

« Ils ont gache ma vie, » a-t-il dit.

Joseph Martin n'avait que 5 ans 1/2 en 1938 quand ses parents l'ont placé a l'Institut Buissonnet de Montreal. Peu de temps après, il a été transféré à l'hôpital St-Jean-de-Dieu, où il est resté jusqu'en 1956. M. Martin a declaré qu'on lui avait administre une variete « de pilules pourpres et roses » et de la chlorpromazine.

Les enfants qui étaient transférés des établissements religieux et des ecoles vers les institutions gouvernementales étaient déplacés d'un endroit a un autre sans que leur famille ne soit informée de l'endroit où ils etaient. Jean Charest a promis qu'il s'occuperait du dossier mais il n'a rien fait.


Alice Quinton a dit qu'elle a commence a recevoir de la chlorpromazine quand elle etait agee de 13 ans, a raison de trois fois par jour, sous forme de comprime et par voie intraveineuse.

« Je me sentais toujours somnolente, comme lorsque vous subissez une operation, a-t-elle dit. Quand je me reveillais, je ne savais pas où j'etais. J'avais des cauchemars et mon coeur battait toujours rapidement. Je me sentais angoissee. »

Le prise de drogue continua derriere les murs de St-Julien jusqu'a ce que Mme Quinton ait 23 ans.

Justice recherchee

M. Rod Vienneau, epoux de Clarina Duguay, a etudié le passe de son epouse et a déclaré qu'a partir du debut des annees 90, quand les Orphelins ont commence a se battre pour obtenir justice, ils ont tous raconte la meme histoire : a partir du moment où ils sont arrives aux installations psychiatriques et jusqu'a ce qu'ils les quittent, ils ont reçu de la chlorpromazine.

Quand ils ont demande leurs dossiers medicaux, les plus vieux, (ceux correspondant a la periode pendant laquelle la drogue aurait ete a l'essai), on ne les leur a pas remis, a dit M. Vienneau.

« De toute façon, dit-il, Chaque orphelin a raconte la meme histoire. Ils ont tous declare que la drogue qui leur avait ete donnee, avait toujours ete la meme. Ils n'ont aucune raison de mentir. Trois milles personnes ne peuvent pas toutes mentir. »

M. Vienneau a precise que les Orphelins ont demande a ce que les psychiatres impliques, dont certains vivent toujours, soient inculpes de crime contre l'humanite.

« Nous aimerions que justice soit faite pour ces milliers de jeunes enfants innocents ainsi que pour les survivants qui, jour apres jour, ont du supporter une torture inimaginable, lorsqu'utilises comme cobayes pour des drogues experimentales, aux mains de psychiatres criminels et d'ordres religieux », a dit M. Vienneau.

Des centaines de morts inexpliquees

M.Vienneau a compare les plongeons dans l'eau froide et l'utilisation de drogues, aux experiences executees sur des enfants dans des camps de concentration diriges par des Nazis en Europe. « Cela a ete une conspiration du silence depuis le debut, dit-il. La province du Quebec ne fut qu'un autre Auschwitz. »

M. Michel Lebel, ancien officier de police de Montreal qui s'est specialise dans l'investigation de cas concernant des enfants, a dit que les crimes contre les Orphelins ont depasse de beaucoup le dopage et l'abus physique. M. Lebel a decouvert des deces non expliques de centaines d'Orphelins et beaucoup d'exemples de paperasserie falsifiee a leur propos.

« Quand les enfants mouraient, a-t-il explique, des personnes jusqu'ici non identifiees faisant partie du systeme psychiatrique arrivaient simplement avec de nouvelles fausses identites. On fabriquait des dossiers pour remplacer ceux des defunts de façon a ce que le financement puisse continuer. Certains de ces gosses sont morts et revenus a la vie 10 fois, » a dit Lebel, qui est maintenant journaliste independant.

« Comme si cette supercherie vis-a-vis des enfants morts n'etait pas suffisante, declare-t-il, il faut ajouter a cela les longues annees de mauvais traitements reserves aux survivants. » Selon Lebel, « c'etait un crime organise contre l'humanite. »

Les Orphelins de Duplessis disent que le principal groupe — les psychiatres qui signalent les ordres vereux et les etiquetaient de « malades mentaux » — n'ont pas ete tenus responsables de leurs abus.

Ce que MM. Vienneau, Lebel et les autres font remarquer, ce sont les paralleles entre ce qui s'est passe au Canada et en Allemagne, où des Orphelins etaient entreposes dans des installations psychiatriques et etaient victimes d'experiences. Le parallele auquel il est fait reference ici n'est pas celui des atrocites nazies, mais plutot celui des crimes commis par les psychiatres allemands dans leurs etablissements. Comme c'est maintenant largement connu, les theories eugenistes en vogue en Allemagne nazie ne se limitaient pas a ce pays.

Avant les Orphelins de Duplessis, cela etait deja pratique courante d'enlever les « indesirables » de la societe canadienne. Des 1928, en Alberta, pres de 3 000 jeunes gens, consideres « mentalement inaptes », furent chirurgicalement modifies a leur insu ou sans leur consentement, conformement a la Loi sur la sterilisation sexuelle. Les sterilisations cesserent et la loi fut abolie en 1972, apres que les atrocites furent exposees par la Commission des Citoyens sur les Droits de l'Homme du Canada.

Le Dr Peter Breggin, psychiatre, auteur et fondateur du Centre pour l'etude de la psychiatrie et de la psychologie a Bethesda, au Maryland, a indique que les echelons les plus hauts de la psychiatrie canadienne et americaine etaient en faveur « du meurtre medical ». Il cite en exemple le psychiatre influent Foster Kennedy qui, en 1941, lors de la reunion annuelle de l'Association psychiatrique americaine, a demande l'extermination des enfants retardes, ages de plus de cinq ans.

Le but de Kennedy, selon Breggin, etait de soulager les « personnes completement inaptes » et les « erreurs de la nature » de « l'agonie de vivre » et d'epargner a leurs parents et a l'etat les frais de leur entretien.

Ces expressions trompeusement compatissantes etaient pratiquement les memes que celles qui etaient employees pour decrire les Orphelins, a declare M. Michel Lebel.

Demande pour que tous les dossiers soient disponibles

Le professeur honoraire Sally Rogow de l'Universite de Colombie Britannique a ecrit dans le livre LES ENFANTS NON DeSIReS D'HITLER, que meme si l'on a largement affirme que le regime d'Hitler tuait des enfants ayant des incapacites reelles, en fait, des milliers d'orphelins en sante ont ete assassines ou utilises pour experimenter des drogues en Allemagne.

Que ce soit au Quebec ou en Allemagne, ce qui est veritablement arrive aux enfants a ete dissimule par la paperasserie bidon et par les faux rapports que les psychiatres faisaient aux parents. On demenageait les enfants sans que les familles ne soient informees.

En Allemagne, ecrivit Mme Rogow, « Les enfants qui etaient transferes des etablissements religieux et des ecoles vers les institutions gouvernementales etaient deplaces d'un endroit a l'autre sans que leur famille soit informee de l'endroit où ils etaient. Beaucoup de parents ne pouvaient pas suivre la trace de leurs enfants. »

Le pere de Mme Clarina Duguay, qui vivait a Cap d'Espoir, (Quebec) ignorait meme que sa fille n'etait plus a l'orphelinat et qu'elle avait ete transferee a l'hopital St-Julien, etablissement psychiatrique situe a 1 000 kilometres de la. Il ne l'apprit que lorsqu'elle s'en echappa, plusieurs annees plus tard.

Mme Rogow a egalement signale que des enfants allemands etaient utilises comme cobayes dans des experiences sur les drogues.

« Plus d'un expose medical a ete base sur les experiences executees sur des enfants en vie et conscients. ... Des enfants recevaient des injections de drogues, de sucre et d'autres produits chimiques pour tester leurs reactions. Des subventions genereuses pour la recherche etaient donnees pour supporter ce genre de recherche », ecrit-elle.

a partir de la fin des annees 40 et jusque dans les annees 60, les Orphelins de Duplessis ont reçu de la chlorpromazine et d'autres drogues.

En Allemagne, quand des enfants mouraient dans les etablissements d'euthanasie, des parents accables de douleur essayaient d'intenter des proces contre eux. En 1941, le gouvernement nazi reagit a cela en emettant un decret legal les empechant de le faire.

Ainsi, la pauvre offre de reglement du 26 septembre du gouvernement du Quebec apporte encore une autre analogie glaciale.

« Une telle offre est simplement une tentative pour couper le desir de justice des victimes et pour clore le debat de façon aussi peu couteuse que possible et non pas pour reparer une injustice de cette envergure », de dire M. Denis Cote, de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme de Quebec.

Dans ce cas-ci, il fait remarquer que le secret profite aux psychiatres qui sont ceux qui sont les plus responsables du confinement et du traitement des Orphelins. « Il doit y avoir une enquete judiciaire complete sur les circonstances entourant le traitement des Orphelins de Duplessis. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur le passe. Nous devons examiner cet evenement tragique de l'histoire et en tirer une leçon, a-t-il declare. Les victimes meritent de savoir ce qui s'est produit et qui etait responsable. Seulement alors pourrons-nous amener devant la justice les personnes appropriees et finalement fermer ce chapitre de notre histoire. Faire moins que cela serait une injustice. »

Aide offerte dissimulant abus et impostures

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a publie une serie de brochures qui documentent solidement la brutalite, la criminalite, l'escroquerie ainsi que les abus de la psychiatrie dans plusieurs zones differentes de la societe.
La premiere brochure intitulee « La trahison de la psychiatrie – La creation du racisme » a declenche une avalanche internationale de controverses par rapport a la psychiatrie.

La plus recente publication « Detruire des vies – Psychiatrie, les enfants trahis et drogues » montre comment la supercherie des maladies de l'education est poursuivie dans le but d'enrichir ceux qui tirent profit des drogues psychiatriques au detriment des ecoliers de notre nation.

Avec plus de quatre millions d'enfants de l'Amerique du Nord, frauduleusement etiquetes comme possedant un « trouble » mental psychiatrique, les psychiatres sont en train de creer une generation de toxicomanes.

Pour obtenir des copies de ces brochures, contactez : La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme, 4321 Papineau, bur 202, Montreal (Quebec) H2H 1T3

Telephone: 514-527-0874

Statistiques des compensations au Canada

Commission du Droit du Canada
"e tude des besoins des victimes de sevices en etablissement."

Alberta Provincial training school
Alberta Hospital, Cormack Center
Chaque victimes ont reçu des indemnisations en 1996 pour des experiences de sterilization des montants de
400 000$ a 740 000$ pour une madame Muir.

Newfoundland, Mount cashel (Terreneuve)
Chaque victimes ont reçu des montants entre 150 000$ a 500 000$ pour des aggressions sexuels et sevices physiques (corporel).

Le Procureur du Canada ainsi que l'eglise Anglican du Canada conjointement ont accorder a douze bands d'indiens de l'Ontario "The Mohawk Institute Residential School in Brantford Ontario un montant de 2,2 milliards pour des abus physiques et sexuel.

The Provincial training school and Deerhome Institution in Red Deer Alberta, les victimes ont denoncer d'avoir ete mis en cellule et ont ete aggresser sexuellement, abus physiques et mentale, cette cause etait contre Sa Majeste La Reine, chaque victimes ont reçu 2,3 millions de dollars.

St.Mary's Indian Residential School on the Blood Reserve in Red Crow Alberta, 181 victimes ont porter des poursuites contre :
The Queen in Right of Canada,
The Roman Catholic Church,
The Roman Catholic Bishop of the Diocese of Calgary,
The Roman Catholic Diocese of Calgary,
The Missionary Oblates of Mary Immaculate,
The Sisters Charity of Montreal,
For crimes of genocide, each victime recieved 2,2 million dollars.

Province of British Columbia, Canada, l'etat a accorder une indemnisation de 150 000$ a 300 000$ par victime.


Bruno Roy a refuser l'invitation de Max Bradette pour aller au poste de radio CJMS 1040, Roy a donner comme raison, "C'est des pauvres gens qui dise n'importe quoi" en voulant dire que nous etions toutes des imbeciles.


Rod Vienneau CVCCH

Statistiques de compensations au Quebec

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Saint Judes, nous gagnerons notre cause.

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